Maryvonne Prevot

[…]
*J’ai découvert à l’âge de douze ans, lorsque j’ai reçu ma première carte d’identité, que mon prénom s’écrivait en deux mots. Euh, je l’avais toujours écrit en un mot. M A R Y VO N N E. Et puis j’ai gardé ce prénom en un mot en tant qu’artiste. Je suis née en 1954, ce qui me fait 68 ans (rire). *

  • Enfin, oui, voilà. *
    Que dire de plus par rapport à ma situation.

Rosanna : Donc tu es bien née en Belgique?

*Maryvonne : Oui, je suis, je suis née en Belgique. Oui, oui, je suis née en fait en Wallonie, dans la région de Charleroi et c’est là que j’ai été élevée. Voilà, donc je suis de culture wallonne. Je viens du Pays noir. *
*J’ai découvert à l’adolescence que j’avais un père biologique d’ailleurs, et bien plus tard, parce que c’était un secret. À la mort de mon papa, celui qui m’a élevée, j’ai commencé à faire des recherches et j’ai eu la chance de retrouver mon père biologique. Je savais simplement qu’il était Algérien et il s’est avéré que mon père biologique était Kabyle. Donc je suis entrée en contact avec une autre culture également, les quelques fois où je suis allée en Kabylie, voir là. Pour résumer, j’ai trois enfants. *
*Et voilà. *
J’ai fait une carrière dans un domaine tout autre que celui des arts.

[…]

Vous retrouverez l’interview dans son intégralité ici:

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